« Guerre des paysans » (8). Allons à Mühlhausen en Thuringe

Le 14. mai 1525, l’encerclement de la ville de Frankenhausen se termina par la prise d’assaut de la cité par les troupes du landgrave Philippe de Hesse et le refoulement de la bande insurgée (Das Conterfei etlicher Krigshandlung vom 1523. bis in das 1527. jar1 in der Staatsbibliothek Bamberg Bl. 66. Source)

 

Ce qui est appelé ci-dessus das Conterfei est une sorte d’album de plusieurs campagnes militaires, conservé à la bibliothèque d’État de Bamberg. Il contient 66 gravures sur bois qui illustrent différentes campagnes militaires auxquelles a participé, de 1523 à 1527, la Ligue souabe, qui peut également être identifiée comme la commanditaire de l’œuvre.

Un crieur de bière

Mühlhausen en Thuringe était au 16ème siècle la ville d’Empire la plus importante de la région. Elle était de taille moyenne, environ 7500 habitants, auxquels s’en ajoutaient 2400 sur ses possessions agricoles environnantes. A titre de comparaison, Mulhouse, en Alsace, qui était une république depuis 1515 et où la Réforme s’installera fin juillet 1523, atteindra les 3 000 âmes mais pas de manière permanente. A Mühlhausen, l’ordre Teutonique était dominant et, par ailleurs, l’un des principaux propriétaires terriens.
Le 8 février 1523, un crieur de bière pas ordinaire se mit à haranguer la foule en pèlerinage devant l’Église Sainte Marie. Il s’exprima en ces termes : Je vous annonce aujourd’hui une autre bière. Habituellement, les habitants attendaient pour savoir où le breuvage avait fini d’être brassé et pouvait être acheté. Cette autre bière était une autre parole de l’évangile. Le crieur était Heinrich Schwertfeger, qui sera plus connu sous le nom de Pfeiffer, un ancien moine cistercien passé à la Réforme. Il sera compagnon de lutte de Thomas Müntzer qui n’était pas encore arrivé dans la ville mais qui devra quitter Allstett, en 1524. Dans son sermon de cervoise, le crieur de bière critiqua bien sûr le pape et l’église mais également les autorités profanes. Il fut rapidement rejoint par d’autres qui formèrent une opposition municipale non seulement sur les questions religieuses mais aussi urbaines. (Source).

Thomas Müntzer (1488/89 – 1525)

Thomas Müntzer est né entre 1488 et 1489, ce n’est pas très bien établi, à Stollberg, petite ville minière (cuivre) dans le sud du Harz. Il est de cinq ans le cadet de Luther. Il y a toujours des incertitudes dans sa biographie. Et il n’existe aucun portrait de lui fait à son époque. Après l’école latine, il est inscrit à l’université de Leipzig et celle de Francfort sur Oder. Il n’y a pas trace de ses diplômes mais il en avait forcément pour avoir été ordonné prêtre en 1514. Il vivra de différentes activités ecclésiastiques et de cours privés. Il sera, par exemple confesseur, d’un couvent de nonnes. En juin/juillet 1517, il est appelé à se prononcer sur les indulgences par le recteur de l’école Saint Michel à Braunschweig avant même que Luther ne publie ses thèses. La même année, et par intermittence jusqu’en 1519, on le voit à Wittenberg. Il assiste à la dispute de Leipzig entre Luther et le représentant du pape, Eck. Luther le recommandera comme prêtre à Zwickau où il exerce de 1520 à 1521. On lui reproche de créer des troubles et il est obligé de quitter la ville, fait un séjour en Bohème, en partie à Prague même. Il disparaît puis réapparaît à Halle. Disparaît à nouveau. On le retrouve en 1523 officiant à Allstedt jusqu’en 1524. A Allstedt, il se marie, aura un enfant, mettra en pratique la réforme de la messe entièrement en allemand, ce qui a fait sensation. Les gens accouraient pour l’écouter, ce qui n’était pas du goût du comte de Mansfeld qui interdit à ces sujets de s’y rendre. Müntzer entre très vite en conflit ouvert avec lui. Ses idées théologiques commencent à prendre une dimension politique et sociale. C’est ainsi, l’atmosphère anticléricale ambiante aidant, que la subvention destiné aux moines de l’ordre des mendiants servira à alimenter la caisse des pauvres. Se créée une Alliance des bourgeois de la ville favorables à ses idées et menant des actions anticléricales dont celle consistant à mettre le feu à une chapelle appartenant à l’Abbaye de Nauendorf. Les autorités princières n’en demandaient pas tant mais la ville fait corps. La situation ne se calmera pas, au contraire. Un chevalier catholique se met à attaquer ses sujets qui se rendent au culte réformé. La pression catholique s’accentue. A Allstedt affluent des réfugiés protestants. Les nobles demandent le retour de leurs serfs. La ville se met en armes et s’installent des structures théocratiques. Müntzer est convoqué à la Cour de Weimar. Ses sermons sont soumis à la censure et son imprimeur licencié, l’alliance dissoute. Abandonné par les bourgeois de la ville et craignant une arrestation, il prend la décision de fuir. Dans la nuit du 7 au 8 Août 1524. Le 15, il arrive à Mühlhausen où officiait l’ancien moine réformateur, Heinrich Pfeiffer. Ils en furent d’abord expulsés pour y revenir séparément mais en position consolidée après un passage à Nürnberg (Nuremberg) et, pour Müntzer, à Bâle et en Forêt Noire, très précisément plusieurs semaines à Griessen dans le Klettgau, et dans le Hegau au nord du Lac de Constance. Pfeiffer revient à Mühlhausen en décembre 1524 et Müntzer en février 1525 où il devient le prédicateur de l’Église Sainte Marie.

En mars 1525, les habitants de Mülhausen déposent le conseil municipal et élisent un conseil perpétuel (Ewiger Rat). La notion de conseil perpétuel ne conrrespondait pas aux vues des deux prédicateurs qui n’y participeront pas. Elle semble plutôt répondre à des aspirations de la bourgeoisie urbaine. Elle peut surprendre aujourd’hui dans la mesure où cela signifiait la fin d’un pouvoir alternant. Mais cela avait pour objectif d’éviter une rotation trop rapide affaiblissant la fonction, avec un sytème de cooptation fréquent qui échappait au contrôle. Il s’agissait de responsabiliser les édiles municipales, d’éviter leur corruption. Ce conseil

« n’était pas le résultat d’une ivresse apocalyptique comme on l’a souvent cru mais la conséquence politique logique des conflits sociaux qui se sont mélangées avec la problématique de la Réforme ».

(Hans-Jürgen Goertz : Thomas Müntzer Revolutionär am Ende der Zeiten. CH Beck München 2005 p 195).

Mühlhausen est un cas exemplaire où la révolte déborde de la ville et touche aux villages de la campagne environnante. Cela ne résume toutefois pas l’ensemble de la Thuringe même si à la mi-avril 1525, le landgrave Philippe de Hesse, décide qu’il faut punir la cité

« pour la raison que l’on peut imputer à ville de Mühlhausen toute cette impétueuse agitation »

(cité par Gerd SchwerhoffDer Bauernkrieg. Geschichte einer Wilden Handlung. C.H.Beck p.333)

Le soulèvement de Thuringe

Le soulèvement de Thuringe a ses singularités propres et ne peut être attribué à un homme seul :

« Le soulèvement de Thuringe n’avait certainement pas été l’œuvre d’un homme seul. Müntzer n’était pas le grand organisateur du soulèvement, comme certains le pensaient. Il n’y a pas eu non plus de Parti müntzerien, qui aurait planifié son accession à la direction du mouvement. Dans la phase finale cependant, Müntzer se mit à la tête du grand regroupement près de Frankenhausen et tenta avec de multiples écrits d’obtenir du soutien de la part des villes proches et lointaines : Schmalkalde, Sonderhausen, Eisenach, Erfurt ; à l’inverse d’autres communes s’adressaient à lui pour obtenir aide et conseil. Il ne peut y avoir de doute sur le fait que Müntzer précisément dans les derniers jours à Frankenhausen a pris un part importante à la décision. Il était prédicateur et stratège. »

(Hans-Jürgen Goertz : o.c. p209)

Fin avril, début mai 1525, des rassemblements se tiennent en de nombreux endroits. Les doléances s’appuient sur le modèle des XII articles de Memmingen, dont une édition est présente sur le marché du livre à Erfurt.

« Pas mal de communes avaient conscience que les revendications du sud allemand ne correspondaient pas toujours à leur situation juridique et rédigèrent des articles qui leur étaient propres ainsi à Ichterhausen ou Neustadt sur la rivière Orla. Plus de quarante catalogues de doléances sont attestés dans les villes et villages d’Allemagne centrale. Ses concepteurs ne pensaient pas à un programme universel mais se concentraient sur les problèmes qui n’intéressaient souvent que leur propre village ou ville, ou administration concernée.
Tout aussi localement délimitées que leurs doléances étaient leurs soulèvements respectifs qui n’établissaient que des rapports distendus entre eux. A l’exception de la bande de Mühlhausen et de Werra, les différents groupes ne recrutaient que dans un cercle étroit […] »

(Lucas Wölbing : Der Bauernkrieg in Mitteldeutschland in Freyheyt, Katalog zur Thüringer Landesaustellug in den Mühlhauser Museen. Michael Imhof Verlag. p.226)

Les revendications en Thüringe, où le servage n’existait plus, portaient surtout, outre comme partout sur le choix du prêtre et l’installation de la Réforme, sur les biens communaux en lien avec la préservation dans les villages et petites villes des troupeaux de moutons contre l’envahissement des élevages seigneuriaux, ainsi que, par exemple, sur ce que l’on appelle le réméré, (vente d’un bien avec faculté de rachat), etc.

Le 18 avril dans la vallée de la Werra le conflit naît du refus du propriétaire terrien, un noble, d’accepter l’engagement d’un prédicateur réformé. Quatre jours plus tard 3000 insurgés étaient rassemblés sous la direction de Hans Sippel. Des couvents ont été pris d’assaut, des nobles contraints à se soumettre. La ville de Salzungen s’est jointe au mouvement et la saline a été occupée. La majorité des membres de la bande se contenta de la satisfaction de revendications locales et refusa de rejoindre les autres groupes dont celui de Mühlhausen. Le landgrave Philippe de Hesse, par ailleurs proche de Luther, avait réprimé les rebelles de Fulda qui avaient rallié l’abbaye de Hersfeld dont il était le protecteur. Leurs dirigeants furent emprisonnés puis exécutés et la bande, privée de ses meneurs, se dissoudra. Une partie rejoindra Thomas Müntzer à Frankenhausen.

Les soulèvements n’eurent pas la vitalité qu’ils eurent ailleurs. Ils étaient d’intensité très inégale et marqués par des différents entre radicaux et modérés alors que, aux premiers jours de mai, les armées seigneuriales s’étaient mises en ordre de bataille. Le landgrave Philippe de Hesse avait rejoint l’armée du duc de Brunswick. Une divergence d’opinion entre lui et Pfeiffer, qui voulait consolider les positions à Mühlhausen, fit que le11 mai 1525, Müntzer se rendit à Frankenhausen avec un petit moncel de 300 hommes, habitants de Mühlhausen. 6 à 8 000 insurgés y étaient rassemblés sous la bannière marquée d’un arc-en-ciel. Conçue par Müntzer, elle portait l’inscription latine : verbum domini maneat in etternum (Que la parole du Seigneur demeure pour l’éternité).

La bataille de Frankenhausen

Le 14 mai, après avoir repoussé avec succès les premier assauts féodaux, les insurgés sortent de la ville et installent sur une colline un fort de chariots (Wagenburg). La colline se nomme depuis Schlachtberg, la colline de la bataille. Le lendemain, la troupe féodale fut renforcée. La proposition de livrer Thomas Müntzer en échange de l’impunité pour les rebelles jeta le trouble dans la bande. La décision fut mise en discussion. Alors que l’assemblée était réunie pour en délibérer, elle fut bombardée. Il n’y aura plus de bataille. La bande paysanne fut bousculée et se mit à fuir, pourchassée.

« Nous les avons poursuivis et, entre la colline et la ville, nous en avons étripé la majorité, mais beaucoup ont pu pénétrer dans la ville. Nous avons donné l’assaut à la ville et tué tout ce que nous avons pu rencontrer »

Ainsi le témoignage du comte Philipp von Solms, cité par Gerd Schwerhoff (oc 387)

La sauvagerie est telle qu’un chef mercenaire comme Asche von Cramm en fut ébranlé. Il avait mené un détachement de l’armée saxonne à Frankenhausen. Après la victoire, il plaide auprès de l’Électeur de Saxe pour la clémence et la protection des prisonniers. Il fait part de son trouble à Martin Luther. Ce dernier tentera de consoler ses remords de conscience en lui dédiant un écrit répondant à la question de savoir Si les hommes de guerre peuvent aussi être dans un état béni. Luther écrit en substance que ceux qui commenceraient à dessein et par vanité une guerre « comme le font les paysans maintenant » seront avec raison frappé par le jugement et l’épée de dieu. Un homme de guerre qui a engagé la bataille pour l’ordre devrait être certain que « sa poigne et son épée sont celles de dieu ». Luther ne précise pas si dieu fait une distinction entre guerre et massacre.

Le bilan du carnage se situera entre 5 et 6000 morts et 600 prisonniers. Parmi ces derniers, Thomas Müntzer. Heinrich Pfeiffer sera capturé quelques jours plus tard, après la prise de Mühlhausen par les mêmes troupes.

La prise d’assaut de la ville de Mühlhausen en mai 1525 et la chasse aux paysans cachés dans les champs (Das Conterfei etlicher Krigshandlung vom 1523. bis in das 1527. jar1 in der Staatsbibliothek Bamberg Bl. 65.Source)

Thomas Müntzer aura la tête tranchée à l’épée, le 27 mai 1525. Elle sera exposée avec celle de Heinrich Pfeiffer sur une pique en guise d’avertissement. Quelques jours plus tard, Luther publiera, dans le souci de le présenter comme un enragé et pour justifier que l’on avait bien eu affaire au diable, les dernières lettres de Thomas Müntzer. Il aura ainsi contribué, par son souci de le diaboliser, à sa célébrité. L’opuscule se voulant dossier d’accusation avait pour titre : Histoire épouvantable de Thomas Müntzer et jugement de Dieu contre lui, par quoi Il donne un démenti manifeste à cet esprit et le condamne.

Omnia sunt communnia

Thomas Müntzer a tenté de combler le vide laissé par Luther quand ce dernier a ouvert la brèche de la Liberté du chrétien, en la cantonnant à une liberté spirituelle, sans conséquence sur la vie quotidienne des serfs qui aspiraient à leur émancipation. Au contraire il les appelait à la soumission. Pour Müntzer, c’était non seulement un droit mais un devoir de se soulever pour la liberté du chrétien sur terre. De ce qu’il reste de son interrogatoire avant son exécution, on peut déduire un fragment de sa théologie politique, en prenant garde au fait qu’il s’agit d’un compte-rendu d’audition :

„Dye entporungen habe er [Müntzer] dorumb gemacht, das dye christenheyt sollt alle gleych werden und das dye fursten und herren, dy dem evangelio nit wolten beystehen, solten vortiben und totgeschlagen werden. […]
Ist ir [sein und der Bauern] artigkel gewest und habens uff dye wege richten wollen : omnia sunt communia, und sollten eynem idem nach seyner notdorft ausgeteylt werden nach gelegenheyt. Welcher furst, graff oder herre das nit hette thun wollen und des ertlich erinnert, den soll man dye koppe abschahen ader hengen“

« La révolte, il [Müntzer] l’a faite pour que les chrétiens deviennent tous égaux et pour que les princes et seigneurs qui ne voulaient pas accepter l’évangile soient chassés et tués.[…]
Leur article [le sien et celui des paysans] qu’ils voulaient mettre en œuvre était : omnia sunt communnia, et chacun devait se voir distribué selon ses besoins. Le prince, comte ou seigneur qui n’acceptait pas cela, on devait lui couper la tête ou le pendre »

(Cité par Peter Blickle Die Refomation im Reich. 3. Auflage.Verlag Ulmer.p.75-76)

Omnia sunt communnia (Tout est commun) est tiré de la Bible :

« Alors cette foule de croyants n’a plus eu qu’un seul coeur et qu’un seul esprit. Personne ne revendiquait la propriété d’aucun de ses biens. Tout leur était commun. […]
Personne parmi eux n’était pauvre. Ceux qui possédaient des terres et des maisons, lors des ventes, apportaient l’argent qu’ils en avaient retiré et le déposaient au pied des apôtres. L’argent était distribué en fonction des besoins de chacun ».

(Actes d’Apôtres 4:32-35. Nouvelle traduction de la Bible. Bayard 2001)

Müntzer ne rêvait certainement pas d’une société égalitaire laïque mais, dans une vision eschatologique, de la survenue d’un royaume de dieu sur terre. Il avait une conception universelle de la foi qui n’excluait ni les juifs ni les musulmans.

« Müntzer reste le théologien qui n’avait pas son pareil pour thématiser la question de la justice sociale. Comme penseur important, il était intellectuellement l’égal de Luther, et avec ses remarques sur le leadership autoritaire du « pape » Luther comme il l’avait qualifié, il avait mis dans le mille. Son langage poétique exprimait sa grande colère contre les « gros bonnets«  (grosse Hansen) et leur régiment d’injustices que tant de gens eurent à ressentir. Et malgré sa folie des grandeurs, il reste le seul théologien qui mit des mots sur la misère des démunis. Il est le théologien du courroux, un prophète, qui a pris à son compte la colère des opprimés et qui a reconnu qu’il ne suffisait pas de rafistoler le féodalisme, qu’il en fallait plus que de se satisfaire des concessions accordées par les riches. Tout le système de domination profane et de déférence hypocrite devait être balayé. Sa rhétorique était un torrent de mots enflammés et impitoyables, dépourvu de respiration. Aux yeux de ses adversaires, il était un démagogue, qui a mené des milliers de gens à la mort. Mais il était aussi un mystique, pour qui la musique tenait une place centrale, il a consacré beaucoup de temps à concevoir une nouvelle liturgie. Il fut un organisateur talentueux de prestations politiques sachant trouver les hommes compétents pour le soutenir dans l’organisation des bandes. Il était un prédicateur captivant […] et un pasteur empathique capable de se servir de la puissance des rêves. »

(Lyndal Roper : Für die Freiheit. Der Bauernkrieg 1525. S.Fischer. p. 405)

Après ce surprenant portrait de l’historienne d’origine australienne titulaire de la chaire d’Histoire Regius à Oxford, et datant de 2024, nous retournons en Alsace où tout a commencé. Par une chaussure à lacet (Bundschuh).

Sur Thomas Müntzer, on peut se reporter à ce que j’en ai écrit en 2017. Je m’était beaucoup intéressé à son rapport à la langue, l’écrit et l’oral et n’en ai retenu ci-dessus que les éléments biographiques.

A suivre : De Müḧlhausen (Thuringe) à Mulhouse et le Sundgau (Alsace)

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