Archives de catégorie : Pensée

Heiner Müller, Nietzsche l’effroi et le regard de la méduse (esquisse)

L’effroi de Müller versus l’effroi de Nietzsche Ayant lu cela, Notre philosophie doit ici commencer non pas par l’étonnement, mais par l’effroi, phrase de Nietzsche commentée par Bernard Stiegler à l’Académie d’été de philosophie d’Epineuil le Fleuriel, il m’était immédiatement … Continuer la lecture

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Heiner Müller et Paul Virilio

L’hommage de Paul Virilio à Heiner Müller «Je viens saluer mon frère, l’enfant de la guerre totale et de l’après-guerre totalitaire. Celui qui a vu passer la tempête, celle qui efface toute paix, à commencer par celle de l’esprit. Celui … Continuer la lecture

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Georg Simmel à Strasbourg (1914-1918) par Jean-Paul Sorg

Une contribution invitée. Le philosophe Jean-Paul Sorg dont j‘ai déjà parlé à propos de son livre sur Albert Schweitzer – il en est un spécialiste – évoque pour le SauteRhin – et je l’en remercie – le grand sociologue allemand … Continuer la lecture

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Dès 1915, Albert Schweitzer disséqua la nationalisme

Wie es zum Krieg kam „ Wie von selbst stellte sich der Gedanke ein, daß nur große äußere Ereignisse aus diesem inneren Elend zu erlösen vermöchten. Er machte Völker und Staatsmänner halb unbewußt mit der Möglichkeit des Krieges mehr oder … Continuer la lecture

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Bernard Stiegler : 1917-2017 et après

 Bernard Stiegler : une proposition pour le siècle dans le cadre de Tribute 2018 une coproduction entre la HEAR, Haute école des arts du Rhin, et l’Académie d’Art de Chine qui s’est déroulé à Strasbourg du 2 au 10 décembre … Continuer la lecture

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Abi Warburg et le serpent dans les archives de la mémoire

Visite à l’exposition Abi Warburg / Atlas Mnemosyne au ZKM de Karlsruhe en suivant la piste du serpent jusqu’à son rapport au travail vu par Bernard Stiegler via Nietzsche. Le dessin de cette gravure, conservé au British Museum, est attribué … Continuer la lecture

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PAUSE

  « L’oisiveté du flâneur est une protestation contre la division du travail » Walter Benjamin Le livre des passages      

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Robert Musil, le réel et ses possibles

Dans  » L’homme sans qualité », Robert Musil dit que c’est la qualité du monde
que d’être là pour être transformé, il a ça « dans le sang ». Continuer la lecture

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(Re)Lectures de MarxEngels : 1. Le(s) spectre(s)

Puisqu’il faut tout reprendre depuis le début, je commence ici une nouvelle série consacrée aux grands penseurs allemands que furent Friedrich Engels et Karl Marx. Je l’ai tagué (Re)Lectures de MarxEngels. Il y aura les deux, des lectures et des relectures – relectures aussi au sens de réinterprétation – en faisant appel à différents lecteurs et relecteurs notamment Jacques Derrida, Stephan Hermlin, Heiner Müller et Bernard Stiegler. Et je commence, je dirais presque comme il se doit, par le Manifeste du Parti communiste et son célèbre incipit revisité par J. Derrida :
« Un spectre hante l’Europe, le spectre du communisme »
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Friedrich Nietzsche et la cruauté de la relation créanciers débiteurs dans la généalogie de la morale

Pour Nietzsche, le paradoxe de l’homme est d’être dressé comme «un animal qui puisse promettre». S’oppose à cette éducation si l’on peut dire une tendance contraire : la «force de l’oubli». Il s’agit donc de former en l’animal-homme une mémoire pour le rendre calculable par une moralisation et une «camisole de force sociale». Pour construire cette mnémotechnique, la promesse de remboursement est accompagnée d’un dispositif de torture ravivant en permanence la mémoire de la dette. «On grave quelque chose au fer rouge pour le fixer dans la mémoire : seul ce qui ne cesse de faire mal est conservé par la mémoire» Continuer la lecture

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